jeudi 29 janvier 2009

Donald Westlake

Jeune garçon à l’imagination débordante, Donald Westlake se passionne très tôt pour la littérature, et plus particulièrement la science-fiction et le roman policier, sans pour autant concrétiser son désir d’écriture. Alors que son père voudrait qu’il devienne architecte, il préfère travailler comme lecteur dans une agence littéraire. En 1960, à l’âge de 27 ans, il sort son premier roman, le Zèbre. Peu satisfait du résultat, il lui faudra attendre encore cinq ans pour imposer véritablement son style, dynamique et drôle, avec Le pigeon d’argile. Auteur étonnamment prolifique, Donald Westlake multiplie les ouvrages : Kidnap-party, 1968, place au gang 1973, Faites-moi confiance, 1988, Le couperet, 1997, Le contrat, 2000, motus et bouche cousue, 2002…Il touche à plusieurs genre, et notamment la littérature policière, le thriller, le roman d’aventure et la science-fiction. Richard stark, Tucker Coe, Samuel Holt, Morgan Cunningham, Timothy J. Culver ou encore Curt Clark, on connaît à Donald Westlake plusieurs pseudonymes, sous lesquels il a publié, entre autres, les aventures de deux personnages hauts en couleur, Parker et John Dortmunder. Il a remporté trois Edgar Awards, et s’est vu décerner en 1993 le titre de Grand Maitre des écrivains policiers américains, en hommage à sa carrière. Coté caméra, Donald Westlake a écrit plusieurs scénarios pour le petit et le grand écran, et nombre de ses romans ont été adaptés au cinéma.

Critique sur Donald Westlake

Freddie, un petit voyou sans envergure mais sympathique, à la suite d'un cambriolage râté, se voit obligé de tester un produit pharmaceutique afin d'échapper à la plainte de ses victimes (chercheurs scientifiques un peu spéciaux). Il s'échappe mais le voilà invisible! Et voici son expérience racontée: sa petite amie, qui a du mal à digérer ce drôle de phénomène, sa carrière de voleur qui se voit d'un coup changée en mine d'or, et l'intérêt qu'il suscite auprès des scientifiques (en secret) pour des motifs pas très catholiques, le tout dans un jeu de poursuites rocambolesques.
Le ton est drôle, une critique acerbe sur le comportement humain, avec des décors originaux et bien décrits, bref, un régal pour les vacances! Moi qui ne suis pas fan de romans policiers, voilà encore un auteur que j'apprécie (Vargas, Van Gulik...). Note : 4/5(Lassy)

Critique sur Michael Connelly

L'inspecteur Bosh passe devant un tribunal. Quatre ans plus tôt, un tueur en série, surnommé le Dollmaker, a été tué par Bosh alors qu'il allait l'appréhender. L'intervention de Bosh était discutable: il est allé seul, sans avertir les renforts. Il a tiré devant le refus de l'homme de ne plus bouger. Malheureusement, l'homme en est mort (malheureusement? Une balle en plein cœur, c'est supposé faire quoi? Il aurait pu tirer dans les jambes il me semble... mais certaines conclusions de Connely me semblent toujours un peu tirées par les cheveux). L'enquête qui a suivi a prouvé que c'était bel et bien l'assassin. Aujourd'hui, la veuve de la "victime" nie ce fait et proteste pour usage abusif de la force. Bosh est certain d'avoir assassiné le meurtrier. Mais à l'ouverture du procès, on retrouve une victime récente de ce qui semble être le Dollmaker... Bosh mène donc l'enquête, parallèlement au procès de son accusation.
Connelly met toujours en scène des procès, idéalement contre des flics. Il illustre toujours des magouilles d'avocat aussi, et parle souvent de procès mitigés comme O.J. Simpson et Rodney King (suite à des bavures policières). Parfois ça vient agressant, d'autres fois moins.
Connelly a réussit selon moi tout un défi. Mettre en scène un héros qui revient à chaque histoire (ou presque)... tout en évitant de rendre ce héros sympathique. Habituellement, un bon héros est quelqu'un à qui on s'attache, avec de belles qualités et certains petits défauts, quelqu'un qu'on voit comme un alter ego peut-être, auquel on peut s'identifier... et tout ça. Bosh est un anti-héros. Il a mauvais caractère, célibataire ronchon qui se complique toujours la vie dans ses relations interpersonnelles (les "scènes d'amour" sont d'ailleurs vraiment plates... mais c'est souvent le cas dans les livres policier. Ça tourne autour du cliché). Il est violent, impulsif, il fume n'importe où... mais il est brillant. Il a toujours des problèmes avec les Affaires Internes de la police, même s'il s'en sort toujours.
Connelly est le champion du faux coupable. J'aime bien, même si ça devient parfois un peu répétitif. L'enquête avance, tout tend vers un suspect, finalement, ce ne sera pas lui, un autre, encore raté, il peut, comme ça, désigner puis blanchir successivement 2-3-4 suspects. La police n'est pas parfaite quoi!
note: 4.25/5(SarahEmily)

vendredi 16 janvier 2009

premier texte de francais..(policier)

Je vais vous parler d’un sujet amener. Il serre a trouver des personnes qui on fait des choses mal et oui c’est des romains policiers. Je vais vous parler de 3 aspects.


Il y a toujours au moins des policiers, un ou des criminelles et peut-être des détectives. Il y a des indices, des places de crimes et tout.


Ils vont trouver les criminelles sois dans leur cachettes leur maisons etc. Et pendant leur pause les policiers mangent des beignes.


Ils essayent de trouver des pistes pour pouvoir démasquer les voleurs.


Je vous conseil des romans ou livres policiers car ses très plaisent à lire.